« Faire une peinture où se reconnaissent les hommes »

Rue de Tocqueville, à l’adresse qu’on m’a donnée, je vois s’ouvrir, à ma grande surprise, dans le flanc noirâtre des maisons, une immense caverne crayeuse où s’agitent, à peine moins blancs que les voûtes, quelques fantômes très classiques.  – M. Jégoudez ? me dit l’un d’eux, très aimable ; mais parfaitement, monsieur : c’est au …

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